Pour valider mon diplôme (niveau) Master II en Architecture d’Intérieur & Design – à Penninghen, promotion 2014 – j’ai orienté mon projet de fin d’études sur de la muséographie, avec le souhait de révéler l’invisible : « trésors oubliés, les réserves mises
en scène » est né. Inspiré des réserves du Louvre Lens, dont j’appréciais grandement l’architecture avec mon regard (pas trop formaté) de l’époque. Grâce à ce projet supervisé par un ancien professeur et architecte, Pascal Chossegros j’ai décroché la mention très bien.
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Initialement, je souhaitais créer un « musée des 5 sens » car je trouvais que les musées n’étaient pas accessibles aux personnes en situation de handicap – visibles et invisibles (pas un choix hasardeux pour une AuDHD qui s’ignorait…).
Et je ne l’imaginais pas juste comme on se l’imaginerait façon Cité des Science ou Palais de la Découverte – menacé de fermeture par de grands projets de luxe par ailleurs (la culture un peu plus dévorée par le super profit…). Mais Thomas Schlesser, docteur en Histoire de l’Art, qui nous a conseillé en début de 5ème année, m’en avait dissuadé, car « ce type de musée n’existe pas » et qu’il fallait se rattacher à de l’existant…